Focus sur le métier de maquilleuse formatrice :
Intervenante en maquillage au sein d’ELEA, Bruna.R nous parle de son parcours et de son expérience professionnelle.
Bruna, quelles sont tes missions au sein d’Elea ?
Tout d’abord, ma première mission, c’est que les étudiants prennent confiance en eux et en leurs compétences. Ensuite, je suis également présente pour transmettre mon savoir, mes techniques, mes expériences et surtout partager ma passion !
Enfin, le suivi pédagogique des élèves fait aussi partie de mes missions, pour suivre l’évolution de chacun d’entre eux, les faire monter en compétences que ce soit en maquillage beauté, mode ou artistique.
Quels diplômes as-tu obtenus ?
Dans un premier temps, j’ai obtenu un Baccalauréat littéraire, puis j’ai effectué une mise à niveau d’arts appliqués. J’ai ensuite entamé ma reconversion professionnelle en intégrant l’ITM (institut technique de maquillage) à Paris, où j’ai fait 3 ans d’études en maquillage. Et pour finaliser, j’ai passé un CAP esthétique en 1 an à l’école ELEA Presqu’ile.
Bruna, racontes nous tes expériences professionnelles dans le maquillage :
J’ai travaillé en tant que conseillère et commerciale pour des marques de cosmétiques et maquillage, telles que Chanel, Bobbi Brown ou encore Too Faced.
J’ai également été formatrice nationale (France/Suisse) pour la marque Too Faced. Ce poste consistait à former les professionnel(le)s sur les produits, effectuer des journées presse, faire des démonstrations filmées. C’était beaucoup de relationnel avec les collaborateurs, partenaires…
Justement, quelles sont les possibilités de métiers dans le large univers du maquillage ?
Il y en a une multitude, mais je pense déjà à maquilleuse intermittent du spectacle au théâtre, à l’opéra ou encore dans des festivals.
Maquilleuse freelance, pour des shootings, des mariages, à la TV ou dans l’événementiel.
Maquilleuse « beauté » de manière plus traditionnelle, dans les instituts notamment ou dans le domaine de la cosmétique, comme les conseillères ou les formatrices que l’on retrouve en points de vente.
Pour toi, quelles sont les qualités requises pour être une bonne make-up artist ?
Tout d’abord, je dirais l’adaptabilité par rapport aux conditions, lieux ou encore aux horaires auxquels nous pouvons travailler. Ensuite je pense qu’il faut être à l’écoute, comprendre rapidement les besoins de la clientèle, être efficace donc avoir un bon sens analytique et artistique. Pour résumer tout cela, je dirais que la passion du métier est primordiale.
Peux-tu nous expliquer quels sont les parcours envisageables pour être make-up artist ?
Le mieux reste de suivre une formation de maquillage beauté et/ou artistique au sein d’une école d’esthétique ou de maquillage.
Et toi Bruna, pourquoi t’es-tu tournée vers cette carrière professionnelle ?
Le maquillage regroupe plusieurs domaines qui me passionnent : l’art, la beauté et le conseil. Et le métier de formatrice me permet de réaliser ce que j’ai toujours voulu faire depuis petite : enseigner, partager et transmettre.
Nous te remercions Bruna pour ce témoignage, ainsi que pour ton investissement auprès des élèves.